Les pratiques de santé publique, notamment le lavage des mains et les vaccinations, contribuent à réduire la propagation et l’impact des infections. Néanmoins, la charge mondiale d’infection est élevée et des mesures supplémentaires sont nécessaires. Les infections aiguës des voies respiratoires, par exemple, ont été responsables d’environ 2,38 millions de décès dans le monde en 2016.
Le rôle de la nutrition avec le système immunitaire
Le rôle que joue la nutrition dans le soutien du système immunitaire est bien établi. De nombreuses données mécanistiques et cliniques montrent que les vitamines, dont les vitamines A, B6 , B12, C, D, E et folate; oligo-éléments, y compris le zinc, le fer, le sélénium, le magnésium et le cuivre ; et les acides gras oméga-3, l’acide eicosapentaénoïque et l’acide docosahexaénoïque, jouent des rôles importants et complémentaires dans le soutien du système immunitaire.
Les conséquences d'une nutrition inadaptée sur le système immunitaire
L’apport et le statut inadéquats de ces nutriments sont répandus, entraînant une diminution de la résistance aux infections et, par conséquent, une augmentation de la charge de morbidité.
Dans ce contexte, les conclusions suivantes sont tirées :
- La supplémentation avec les micronutriments ci-dessus et les acides gras oméga-3 est une stratégie sûre, efficace et peu coûteuse pour aider à soutenir une fonction immunitaire optimale ;
- Une supplémentation au-dessus de l’apport nutritionnel recommandé (AJR), mais dans les limites supérieures de sécurité recommandées, pour des nutriments spécifiques tels que les vitamines C et D est justifiée ;
- Les responsables de la santé publique sont encouragés à inclure des stratégies nutritionnelles dans leurs recommandations pour améliorer la santé publique.
Ces nutriments sont systématiquement étudiés et proposés au cours de votre cure de jeûne, mono-diète ou détox kéto chez JOLIJEÛNE.
Nous remercions également le laboratoire BIONUTRICS pour le contenu de cet article.
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